entrée/sallon/salle à manger

Lui sourit.
"C'est vrai excuses moi."

Au fond de moi je me sentait vraiment comme le plus comblé de tous les hommes du monde à cet instant. Mais il y avait toujours cette vague d'inquiètude qui me prenait lorsque je pensait ce qui était arrivé à l'enfant et à la femme de Thierry.

"c'est rien"

J'essayait de chasser ces mauvaises pensées et la regardait dans les yeux.
"Es tu heureuses?"

"oui, pk?"

Je la regardait et me dit que c'était idiot de lui avoir posé cette question. Mais il y avait de quoi quand même. Ca allait peut être totalement changer notre vie....

"Pour rien....enfin c'est surtout à cause du bébé. C'est tellement soudain que sur le coup je ne me suis même pas demandé si toi tu étais heureuse de l'avoir."

Je me lève et vais derrière elle, l'entourant de mes bras.

(pk--> pourquoi lol)

"et toi, Rivaul, est-tu heureu?"

"Je crois qu'on a rarement vu quelqu'un d'aussi heureux et comblé que moi."

Je lui sourit et lui fait un bisou dans le cou.

"les habitudes..."

"C'est dur de s'en défaire...et toi? C'est quoi tes petite manies?"

"C'est plus un mauvais caractère..."

"Ah oui? Je ne trouves pas tant que ça. Tu es juste c'es tout."

"pas toujours."

Je la regarde.
"Et tu penses déjà ne pas avoir été juste...avec moi?"

"oui...tu as raison..."

"Ah...et quand?"

" ? "

"quand est ce que tu n'as pas été juste avec moi?"

"je dirais jamais..."

"C'est bien ce que je pensais."
Je lui souris et l'embrasse tendrement.

(vais manger++)

(++!) je prolonge le baiser...

(ça va mon frère va aller voir la télé donc je termine de manger, je fais la vaisselle, sort le chien, met la pommade à mon oère et je re lol)

Je la caresse doucement le long du bras.

je me laisse faire.

"Je ne sais pas si ça peut se faire quand on attend un enfant."
Je lui sourit et l'embrasse doucement et la caresse sur le côté.

J'entend sonner et soupir.
"Et zut. ben faut croire que non."
je l'embrasse et vais ouvrir.

"Installes toi. tu voulais me parler?"
Je m'asseois aussi et la regarde.