Chien de maitre
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Chien de maitre

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 Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]

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Chally
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Chally


Cancer Chèvre
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeSam 31 Déc - 19:38

je me sentais tirrer... Mais vers ou ?? Pour linstant je netais pas totalement consciente... Une fois dans le terrier la chaleur que me procurrais Tovik me redonnais vie. Mais pas encore asser pour me reveiller. Mes illusion commencais a devenir realiter... Mon tovik etait pres de moi dans le terrier a me rechauffer du mieux qu'il pouvait. Sacré toto on en trouvera pas 10 comme lui... Chien unique et le plus merveilleux... Je restais contre lui a reprendre quelque force même si je ne pouvais pas guerrir en un seul claquement de doigt.

Va falloir que j'aille rendre visite a monsieur vétérinaire... Non d'autre humain... Je ne veux plus voir d'humains il mon asser blesser comme sa. J'etais bien contre Tovik mais il fallait bien que encore quelque chose arrive... Comme si j'avais eu une decharge electrique je leves ma tete d'un bond en regardant partout d'un air affoller. Mon coeur debattait tellement que jen avais envis de vomir. Je vois enfin une personne rassurante pres de moi... Est-ce que tout ce qui c'etait passer etait un reve... Nous n'avions jamias quitter la taverne... La douleur me faire dir que non tout sa est réelle. Mais pourquoi un autre coup de fusil... Je vois Tovik qui a l'air tres inquiet... Son maitre... Ou etait-il ?? Dans son regard je peux lire qu'il etait arriver quelque chose a cet humain... Pourquoi il restait là il fallait qu'il aille aider son maitre !

Je lui donne des faible coup de museau pour lui faire comprendre de ne pas rester de partir l'aider... Oui sa me faisait un peux peur de rester tout seul mais je me disais qu'il allait me retrouver !! Je n'ausais pas mimaginer le froid que j'aurais lorsqu'il sera partit. Mes oreilles son bien applat sur ma tete. Ce chasseur m'aurrait un jour au l'autre cetais innevitable... Combien de temps je surviverais dans ses forets ?? Jen nen savais rien mais Tovik avec moi, mes jours serons plus beau.

Je frotte ma tete contre celle ce tovik. Je sais bien qu'il est bien courageux il serait a tout faire pour ceux qu'il aime. Je laisse ma tete re tomber par terre. J'avais deja hate qu'il revienne. Mes oreilles etais toujours coller sur ma tete. Grosse erreure d'etre sortit va falloir que je men rapelle la prochaine fois !! Un lapin etait pres de moi. Avec ma patte je l'attire vers moi pour manger un peux. Je n'avais pas bien faim mais au moin sa m'occupais.

Je voulais lui demander de faire attention me le promette mais avec le chasseur rien n'etait sur alors valait mieu ne pas lui faire promette pour rien. J'avais limpression que la viande etait de la bou dans ma geul. Jetendais le vent souggler a vive allure... J'allais encore etre enfermer dans le terrier. Est-ce qu' il viendra me deterer... Si il est toujours vivant... Non ne pence pas a sa tout vas tres bien aller il va revenir avec son maitre en un morceau et revenir me coller. Je mefforcais de croire cette pencer inventer par mon cerveau mais qui me disait que tout allait etre nickel ?? Peut-etre que son maitre est gravement blesser... Encore une fois sa serais de ma faute car si je ne saurais pas partit Tovik non plus ne serais pas partit... Il aurait proteger son maitre... Il y a des jours ou il vaut mieu rester coucher.

Est-ce que Tovik men voudras ?? Jespere que non je l'aimais trop pour le voir partir loin de moi. De toute facon il devait rentré chez lui. Moi ma maison etait ici dans ses forets peupler de danger. Si il le faut je le suivrait... Je m'habiturais au humains pour lui je serais la plus sage des chienne... Sa serais asser difficile puisque je suis asser gaffeuse et j'aime trop aller m'amuser mais bon... On verra plus tard^^. Le silence regnait seul les soufflement du vent ce faisait attendre... Je commencai a etre inquiette... Reviendra t-il ?? Reste a attendre pour savoir !!
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeDim 1 Jan - 2:00

J'avais senti que la chienne n'était pas très rassurée et s'était raidi alors que je la caressais. J'arrête donc ces marques d'attention qui semblaient lui déplaire et la regarde un peu. La peur et l'inquiétude se lisaient dans ses yeux. C'était incroyable comme les yeux du huskys pouvaient^être expressifs. Je la regarde toujours, parcourant des yeux chaque parcelle de son corps pour voir si elle avait encore d'autres blessures. La chienne commence alors à grogner. Je la regarde, tentant d'exprimer par tous les moyens que j'avait en ma possession que je ne lui voualit aucun mal, mais elle se met ensuite à reculer. J'aurais voulu l'en empêcher car je voyais bien que chacun de ses pas la faisait souffrir le martyr, mais je lu dans ses yeux ce qui m'en dissuada. Malgré le sang qu'elle continuait de perdre, elle continua de reculer, m'adressant des avertissement silencieux par son regard brillant. Je comprenais que si je m'approchais, elle ne me louperais pas. Elle était très sauvage..mais terriblement belle quand même. cependant, pour le moment, je devais m'occuper de Tovik...d'ailleur, la chienne avait à présent disparu de ma vue, et seul restait d'elle, des taches de sang rouge sur la neige blanche.

Tovik était quand à lui, toujours incontient. Il ne montrait aucun signe comme quoi il allait se réveiller. Je le caressais doucement, évitant ses blessures avec un soin tout particulier. J'espérais qu'il ne souffrait pas trop. Sa respiration semblait normale et il n'avait apparemment, pas de température. les blessures que je voyais étaient assez profonde..mais ce n'était pas des blessures faites par un homme..plutôt par un loup. Je regarde Tovik, toujours, inlassablement, me demandant quand mon gros pépère se déciderait à se réveiller...en tout cas pour le moment, i n'y semblait pas disposer...Ah si ! Il me semble l'avoir vu bouger une patte...Si si, je vous assure, regardez par vous même...il ouvre ensuite les yeux et lève la tête plus lentement qu'un escargot de course parcourant cinq petits centimètres. cependant, trop à ma joie de le voir enfin s'éveiller ce grand dormeur, je ne fais pas attention au temps qu'il peut s'écouler en attendant. Il semble comprendre que c'est moi...il me reconnait oui..et quelque part heureusement pour lui, mais bon passons. Il se lève après avoir frétillé de la queue avec joie et vient se coller dans mes jambes. Je l'entoure de mes bras et le caresse allègrement, tout heureux de retrouver mon cher Toto. Toutes les bêtises qu'il avait fait dans la maison, pour l'heure, je les avaient oubliées. Je ne pensait qu'à une chose, l'avoir auprès de moi et le ramener à Sarah.

Mais ce tableau du chien retrouvant son foyer et sa jolie mairtesse semblait ne pas être à l'ordre du jour. Tovik s'écarte de moi et semble chercher quelque chose...ou plutôt quelqu'un du regard. Il essaie de la chercher à gauche et à droite, la truffe au ras du sol. Je le regarde faire, impuissant. Je savais ce qu'il recherchait..c'était cette belle femelle husky qui avait du lui lancer la flèche de cupidon dans le coeur.

Je me décidais à le suivre en le voyant s'enfoncer dans les fourrées. Maintenant que je l'avais retrouvé, il n'était plus question de le perdre à nouveau. Je me lève donc, mais pas de chance, à force ed rester accroupi, je ressens une crampe dans le mollet et suis obligé d'attendre un peu qu'elle soit passée. Je sais cependant par où me diriger, n'ayant qu'à suivre les traces de sang nombreuses et visibles laissées par la chienne. je me met en marge de les suivre lorsque je ressens une violente douleur dans l'épaule en même temps qu'un coup de tonnerre fendait l'air. Je comprend, une fois à terre, la main droite sur mon épaule gauche qui se couvre rapidement de sang, transpercée ed part en part, que ce n'était pas un coup de tonerre, mais un coup de feu...e j'en connaissais l'auteur. Je me retourne, me redressant d'un coup malgré la douleur, le regard mauvais. Je m'apprête à m'élancer derrière ce lâche qui venait de me tirer dessus alors que j'avais les yeux tournés, mais un deuxième coup de feu retentit, instantanément suivie par une terrible douleur dans la cuisse gauche. Je m'effondre à nouveau à terre, gémissant un peu de douleur. J'en voulais à cet homme pour ce qu'il venait de faire...comment est ce que j'allais pouvoir retrouver mon chien à nouveau, et comment est ce que j'allais faire pour me sortir de là...?

De plus, voilà maintenant que la tempette s'intensifiait. J'essaie de me relever, mais impossible. Je cri un peu de douleur, je n'y parvenais pas, et avec la neige qui tombait à verse, impossible de voir où se trouvait l'autre zinzin...j'espérait qu'il avait fait demi tour pour repartir chez lui...ou en tout cas ailleur, mais j'entend soudain des crissements de pas dans la neige. Ils sont très amoindries pas la force de la tempête, mais je les entend se rapprocher...à moins que ce n'était que le fruit de mon imagination? Alors que je suis sur et certain que les pas se rapprochent, j'entend alors un bruit sourd...comme un bruit de chutte. Des cris étouffés aussi à présent, mais impossible de voir avec cette tempête ce qui se passait. En revanche, je souffrait de plus en plus de mon épaule et de ma cuisse, plongées dans la neige qui s'y infiltrait doucement. Cela provoquait des brulures qui étaient difficilement soutenables. J'entend alors un bruit sourd, presque aussitôt suivi d'un autre de bruit, mais qui venait de plus loin derrière moi. Je n'ai aps le temps de comprendre ce qui se passe. Lentement, transi par le froid qui me pénètre à travers mes vêtements humides et mouillés, je dépose ma tête sur le sol et ferme les yeux...je venais de m'évanouir, ignorant dès lors ce qui se passait et ce qui se passerait autour de moi...tout du moins, jusqu'à mon réveil...à moins que je n'ouvre jamais plus les yeux.
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Tovik
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeDim 1 Jan - 3:35

Toujours couché auprès de ma belle Chally, je continue à m'inquieter pour Loïc. Était-il vivant, allait-il bien ? Et le chasseur, était-ce lui qui avait tirer ces deux coups de feu ? Et si c'était le cas, avait-il atteind mon maître ? Comment savoir ! Les remords fusent en moi et ne me laisse aucun répit. Je devrais aller aider mon maître, voir s'il allait bien, en avait tellement envie. Mais à l'idée de laisser Chally ici toute seule, me coeur se serrait terriblement. Je ne pouvais prendre le risque de l'abandonner ici alors qu'elle n'avait plus la force de se défendre seule contre tout éventuel danger. Je regarde alors la sortie du terrier sans relache, évitant même de cligner des yeux au cas où que Loïc apparaîtrait comme par enchantement. Je sais que c'est idiot, mais j'ose quand même espérer qu'il pointerait le bout de son nez ici, d'un moment à l'autre. Mais je savais que c'était un faux espoir. En moi, un combat faisait rage pour savoir si je devais rester ou aller accourrir vers mon maître.

Finalement, ce fut Chally qui m'incita à aller me porter au secours de Loïc. Je la regarda avec pleins d'amour et de gratitude. Ma douce était si compréhensible, elle m'éritait beaucoup mieux qu'un terrier pour maison. C'était en faite la chienne la plus fabuleuse que je connaisse. Je reviendrai la chercher, je le promettais ! Je ne la laisserai plus jamais seule. Je colla ma tête contre la sienne puis lui fit quelques lèchouille avant de sortir du trou. Aussitôt dehors, un grand coup de vent vint me fouetter les oreilles et la neige me piquer les yeux. Je ne pouvais même pas sentir le sol sans inspirer des dizaines de flocons tombant tout droit du ciel. Impossible pour moi de voir plus loin que cinq ou six mètres devant moi. Comment retrouver Loïc alors ? Je ne savais pas par où exactement. Je me fit à mon instinct et commença à marcher les yeux mis clos à cause de les torrents de neiges. Le froid pénétrait ma fourrure et mes pattes callait sans cesse dans la neige molle. Mes blessures infligées par le loup noir étaient gelée mais cela ne fit que raviver la douleur. Mais je n'abandonna pas, je continua à marcher là où mon instinct me disait d'aller, en l'occurence ; tout droit devant moi !.

La neige ralentissait mon allure et ma progression. Pourquoi pour l'amour de Dieu il n'arrêtait pas de neiger ? Étais-je donc maudit ? Mes pattes s'enfonce comme toujours...comme avant...et comme ils enfonceront plus tard car malheureusement, je n'ai pas le pouvoir de faire disparaître toutes cettes neiges totalement inutile et irritable. Si au moins ce n'était pas aussi froid. J'avance donc lentement mais j'avance tout de même. Je suis persuadé que je me rapproche de Loïc, oui j'en suis certain ! Le bruit des coups de feu me revinrent en mémoire et me forcèrent à avancer plus vite. J'avais entendu deux coups de feu lorsque j'étais dans le terrier...je pria tous les dieux qu'un chien peut connaître pour que Loïc soit encore en vie.

Une fois de plus caller dans la neige jusqu'au ventre, je fis un bond pour me sortir de là. Malheureusement, là où j'atteris fut encore plus pire. Je calla jusqu'au cou, j'avais l'impression de nager dans...euh je ne sais pas...de la neige part exemple ? Affolé, je commença à me débattre mais le seul résultat que j'obtenais c'était de renfoncer encore plus. La neige volait de toute part sous mes pattes affolées. Je m'épuisais pour rien...voilà ce que je faisais. Finalement au bout d'un moment, je demeura bien calme pour réfléchir. Alors, comment sortir de là ? Je devais faire vite car les précipitations cristallisées ne ralentissait pas au contraire. Et puis, il y avait Loïc aussi. Je ne voyais qu'une seule solution, je continua à me débartre en essayant de sauter. À bout de souffle, j'y parvient enfin et je recommença ma marche aveugle dans la tempête qui faisait rage. Seul le son du vent parvenait à mon ouïe. Me rapprochais-je seulement de mon maître ? Qu'est ce qui m'assurait que je ne m'en éloignait pas ? Perdu dans la tempête, je commença à m'imaginer en train de mourrir congelé. Peut-être me retrouveront-on dans des milliers d'années et on clonnera des Tovik...sinon, au lieu d'un hot dog, les loups pourront me manger en cold dog. Mais qu'est ce que je raconte moi ! Je secoue la tête pour chasser ces idées farfelues et je reprends ma recherche de mon maître.

Alors que je commençais à perdre espoir et que l'idée de revenir sur mes pas grandissait en moi, je percuta quelque chose de ni mou ni dur. Je baissa les yeux pour apercevoir mon Loïc étendu dans la neige et déjà recouvert de celle-ci. Je me pencha vers lui et sentis son souffle...bien, il respirait alors il était toujours en vie. Je lui fit une lechouille au visage, enleva rapidement la neige de sur son corps. Je savais que le chasseur était encore là mais je ne pouvais pas laisser Loïc ainsi ! Que faire ? Non loin de nous, il y avait quelques sapins et des arbres...je pourrais l'y emmener. J'y alla pour y creuser un trou assez large et peu profond et je tira ensuite mon maître jusqu'à l'abri improviser. Au moins, ça le protègera du froid et du vent. Je me couche sur lui et lecha ses blessures quelques minutes afin de le réchauffer et de faire cesser le sang de couler.

Mais pendant ce temps, le chasseur, maintenant désarmé, et André se battait toujours...Seulement, car il ne faut pas l'oublier, le chasseur à subit maintes morsures par moi et Chally alors il faut espéré qu'il en soit désavantagé. Oui, il faut l'espérer car qui sait ce que peu faire un homme désespéré. Après tout, l'homme redevient un animal sauvage lorsque sa vie est en jeu...comme tout le monde. Ses forces se décuple et sa détermination remonte en flèche. Alors heureusement que André est aussi un humain n'est-ce pas ^^ ! Les deux hommes engagèrent le combat, André semblait dominé la situation, mais lorsque celui-ci fut destabillisé par le coup sur la machoire, l'autre homme en profita pour se jeter sur lui, entourant de ses deux mains le coup d'André. Il serra, toujours plus fort afin de l'étrangler. Tout cette aventure ne s'était absolument pas déroulé comme il s'y était attendu ! Mais peu importe, il enterrerait tous les cadavres bien profondément dans la neige ou peut-être les laisserait-il couler dans le lac. Il verrait bien.

Seulement, j'avais quitté Loïc pour reprendre ma recherche du chasseur et d'ailleurs, je le trouva à temps. Il tentait d'étrangler un homme que je ne me rapellait pas avoir déjà vu...peu importe, l'homme était encore vivant. Je grogna, le chasseur tourna la tête vers moi surpris...mais ce fut la seule chose qu'il est eu le temps de faire avant que je ne lui saute dessus. Il retomba sur le dos, libérant ainsi la gorge d'André qui se voyait sauvé. Quand à moi, je planta mes crocs dans la gorge du chasseur tout en ne cessant pas de grogner. Je gouta au goût métallique de son sang et cela ne me dégouta pas. Je serrai la machoire et j'entendis presque avec joie l'homme suffoquer. Il ne pouvait même pas crier de douleur...tant pis pour lui. Je le sens rendre son dernier souffle mais je ne le lache pas pour autant. Je commence même à secouer la tête pour déchirer encore plus la chair du chasseur. Puis, après quelques secondes, je libère ma proie maintenant morte pour lui aboyer dessus. Je lui montre les crocs et je ne semble pas saisir qu'il est mort.

Mon instinc sauvage avait refait surface. Le sang humain ne me déplaisait pas. Mais était-ce vraiment moi ? Je ne ferait pourtant pas de mal à une mouche alors aimé le gout du sang...mais pourtant...ce goût, j'aimerais le sentir à nouveau, le savourer encore une fois. Je n'étais plus moi-même, le froid, la douleur et la fatigue avait eu raison de moi. J'étais dans un second état, un état où seul mon instinc guidait. Je me lecha les babines pour gouter une fois de plus le sang du chasseur puis je recommença à aboyer. J'avais gagné, j'étais le plus fort. À ce moment, je me sentis invincible et je défie ouvertement tout être vivant en combat singulier ! Invicible...oui, c'est ainsi que je me sens...

Je retourne finalement ma tête vers André. Ma gueule est pleine de sang ainsi que toute ma fourrure de ma face. Mes crocs sont visibles et mes oreilles sont aplatis sur ma tête [dsl XD]. Je dois faire peur à voir. Puis, Je réalise enfin qui je suis, je réalise que l'humain en face de moi n'est pas mon ennemis...je reprends contrôle de moi-même. Langue à présent pendante, j'essaie de retrouver mon calme. J'observe André, hésitant entre le tuer lui aussi ou le laisser vivant. Mais la réalité me revient bien vite, quelqu'un doit s'occuper de Loïc ! L'emmener en ville...et je m'y sens incapable...Cet homme par contre le peut, il doit avoir un portable...il doit pouvoir appeler du secours. Alors Loïc serait sauvé, et j'irais retrouver Chally. Je sais qu'une fois que Loïc reprendra conciensce qu'il reviendra nous chercher elle et moi...je sais aussi qu'il nous emmenera chez le vétérinaire pour nous soigner...Chally du moins car elle en a besoin. Je le sais car j'ai confiance en Loïc, il ne m'abandonnera pas alors je ne l'abandonnerai pas moi non plus. Je m'approche d'André et avant même qu'il n'est pus faire un pas de reculons, je prends la manche de son manteau dans ma gueule et le tire. Je l'oblige à me suivre et le conduis jusqu'à Loïc. Une fois bien certain qu'il l'ai vu, je repars en courant vers le terrier.

Le chemin me semble bien long pour m'y rendre. Bien que la tempête ce soit calmé, je mets un temps fou pour y arriver. Normal puisque j'ai passé tout droit et j'ai du revenir sur mes pas. C'est à cause de la neige, elle avait encore une fois bloqué l'entrée du trou alors je n'avais pas vu le terrier...Une fois revenu sur mes pas et bien certain d'être face à l'entrée, je commença à creuser, à creuser et encore creuser, jusqu'à ce que je puisse me faufiler à l'intérieur. Ma belle Chally était là, vivante et toujours aussi belle. Je me dirigea vers elle et reprit ma place à ses côtés. Couché tout contre elle, j'appuya ma tête au sol et ferma les yeux. J'étais complètement épuisé, blessé, mais satisfait et rassuré. Loïc allait être sauvé, j'en étais à présent certains. Ensuite, il reviendrait très vite nous chercher et Chally serait soignée elle aussi. Le chasseur avait payé ses actes de sa vie et je n'avais aucune honte de l'avoir tué...c'était tout ce qu'il m'éritait ! Alors je m'endormis avant même de pouvoir dire à Chally que je l'aimais de tout mon coeur, de toute mon âme...mais elle le sevait déjà je crois.

Je ne fis aucun rêve pendant ce sommeil, aucun cauchemard non plus ne vint troubler ma quietude. J'étais terriblement bien contre mon aimée. Elle me réchauffait autant que je la réchauffais. [Et je rajoute que pendant mon sommeil, je ne ronflais pas non plus XD]. à un rythme régulier, mon ventre se levait et descendait selon ma respiration. Mais finalement, je me reveilla à peine quelques secondes, simplement pour glisser une douce phrase remplit d'affection envers la chienne de ma vie.


"Je t'aime"

Et je me rendormis. En faite, je ne suis même plus sûr de m'être réveillé...peut-être que je parle pendant mon sommeil. Non c'était stupide...je m'étais belle et bien réveillé non ? Roh, mais pourquoi je me pose toutes ces questions complètement stupide !? Avant de complètement retomber dans un sommeil profond et sans rêve, j'espèrais seulement qu'André ramenerait vite Loïc en ville, j'espèrais que celui-ci viendrait rapidement nous chercher...j'espèrais seulement que Chally récupère et retourve la forme. Oui, j'espèrais...


[MWAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAHAHAHAHAHAHAHAAHAHAHAHAHAHAHAHHAAHAHAHHAHHAHHAHAHAH Admirez l'artiste !!!!! PLUS DE 100 LIGNES !!! vous ne pourrez pas dire que toto n'a pas d'inspiration XD même si pas mal de chose dans le texte est inutile XD mais oui, je suis fatigué et c'est pas évident trouvé quoi dire !!! Bon bon, sur ce, je vous laisse ^^ André, sauve Loic pour qu'ils viennent nous chercher XD pas envie de crever dans le terrier moi Razz Et Défence de mourrir pour tlm sinon toto meurt aussi ^^.]


Dernière édition par le Dim 1 Jan - 13:45, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeDim 1 Jan - 22:41

J'avais eu très froid pendant un long moment..mais cela ne comptait pas puisqu'à ce moment, j'étais alors incontient. Au fur et à mesure que le temps passait, j'avais rêvé de plein de choses...ça avait commencé par de bons rêves très agréables, du type mon rutur mariage avec Sarah...enfin du moins, la manière dont j'imaginais que se passerait notre mariage à sarah et moi, si elle était encore d'accord cependant. Cela faisait tellement longtemps que l'on devait se marier que je ne savais pas si elle serait encore d'accord...mon esprit ainsi embrouillé commence à imaginer notre scène de mariage...mais Sarah refusait de m'épouser, et un autre homme, dont le visage me disait quelque chose arrivait. Sarah lui souriait, lui sautait dans les bras et l'embrassait. Après cette scène fort désagréable où je me sentais tout à coup très mal à l'aise, bien que ce ne soit que dans mon imagination, mais ça, je ne le savais pas, je reconnais enfin l'homme qui affiche un sourire édentée qui ne me trompe pas. Cet homme, c'était celui de la forêt, celui qui avait voulu faire tant de mal à mon brave Tovik et à la chienne qui l'accompagnait. Mais Sarah avait le sourire dansles bras de ce monstre et ils commencèrent à s'éloigner. Je les aurais bien suivis, c'est ce que je faisais d'ailleur en criant le nom aimé de ma tendre...mais malheureusement, bien que eux marchait à reculons en souriant et se moquant de moi, et que moi je courais, je ne parvenais pas à les rattraper et ils s'éloignaient de plus en plus, inexorablement. Seul, je laisse tomber la poursuite et me retourne, m'en allant lentement, le coeur lourd...Je rentre chez nous...chez moi et me couche seul, dans ce grand lit si froid à présent..tiens bizare, ce lit, il me semblait qu'il été dévasté..comme la chambre d'ailleur. Mais là, non, le lit était parfaitement eniter et fait, tout comme le reste de la chambre. Je finis par m'endormir, je ne sais trop comment et pendant un long moment.
Bien sûr, à ce moment là, dans la réalité, j'étais toujours inconscient et incapable de comprendre ce qu'il se passait réellement. Mais bref. Donc dans ce cauchemard que je faisais, je me réveil en sursaut. Je suis entouré de noir et soudain je voie une lueur. Je m'y approche, méfiant, ne sachant trop que penser. Et puis je voie soudain une silouhette...je m'approche toujurs et découvre alors, un peu plus à la lumière, que cette ombre que je voyais, c'était celle de cet homme qui m'avait envoyé ma bien aimé. Il rigole et me vise avec un fusil. Je me retirer mais ne le peux et reçoit les deux balles qu'il me tire. Je le sens ensuite me trainer, en me tenant fermement. Il me fait mal mais je ne peux rien faire, trop faible encore pour pouvoir réagir. Je perd conscience...

C'est à ce moment que je reprend connaissance dans la réalité. J'aitoujours froid, mais un peu moins tout de même. J'ouvre faiblement les yeux et regarde autour de moi...tout est blanc...vraiment tout..je ne sais pas trop, attendez que je me ressaisisse un peu. Je referme les yeux un bref instant et prend une légère inspiration avant de les rouvrir à nouveau et de regarder autour de moi. Je pensais que tout était blanc, mais en fait, pas tout à fait. Je tente de me relever, mais je sens une douleur dans l'épaule et la cuisse. Je passe ma main sur les deux et la regarde..ma main est ensanglantée. Avec de nombreux efforts et au bout de longues minutes, je parviens toutefois à me redresser. Je regarde toujours autour de moi, mais je ne voie rien qui puisse m'aider. La tempête s'est intensifiée maintenant et le peu de bruit que j'entend ne m'aide pas vraiment à savoir où je suis et ce que je pourrais faire...toutefois, une chose est sûre, si je continue à rester dans cet endroit, qui ressemble à un petit abri improvisé, je ne risque pas de tenir très longtemps au vu du froid qui m'entoure. Je suis d'ailleur déjà fort engourdi par cette basse température, et je grelotte dans mes vêtements mouillés par la neige dans laquelle j'étais couché.

Au bout de quelques minutes encore, la tempête ne semblant pas décidée à se calmer, je me lève très péniblement. Je dû me reprendre à plusieurs fois pour y arriver, et à présent que je suis sur mes deux jambes...ou plutôt sur une et demi, je regarde un peu autour de moi. Je ne voie strictement rien, ce qui n'est pas fait pour me rassurer. Je me dirige au hasard donc, ne pouvant pas rester là à me les congeler non plus. Je n'ai plus à l'espprit l'intervention d'André et ne sais pas qu'en fait, il se trouvait à quelques mètres de moi à peine car Tovik l'y avait emmené.

Je m'enfonce donc dans le bois, sans savoir où je me dirigeait vraiment et en boitant très bas à cause de ma jambe. Je réprime une grimace à chaque pas, m'appuyant sur les arbres dont certains s'étaient écroulés par le poids de la neige pour pouvoir avancer de la meilleur manière que je le pouvais. J'erre ainsi longtemps, enfin c'est ce qu'il me semblait, car je n'ai plus vraiment la notion du temps. D'ailleur, lorsque j'étais tombé sous les balles de ce chasseur, le cadran de ma montre s'était brisé, m'empêchant donc de savoir maintenant, depuis combien de temps j'étais là. Je continue ma marche cependant et finit enfin, au bout d'une bonne heure de marche à sortir de cette forêt interminable. Je soupir un peu de soulagement, et un peu de douleur. Ma blessure continuait à saigner..et même mes blessures pour tout dire. Je ne renonce cependant pas, sachant que je ne me trouvais aps très loin de la ville à présent, reconnaissant un rocher sur le bors du sentier qui menait au coeur de la forêt. Je suis donc ce chemin pour retourner vers la ville. Je pensais toujours à Tovik bien sûr, mais bizarement, je sentais qu'il allait suffisament bien pour que j'ai le temps de me soigner en rentrant à la maison et de revenir ensuite le chercher, en de meilleurs conditions physiques...et peut être même, avec de la chance, météorologiques.

Enfin, je sors de cette forêt. Je me retourne pour la regarder, mais elle est trop bien masquée par la neige qui continue de tomber, très fortement, aidée par le souffle du vent. Je tousse un peu, rien d'étonnant vu que je suis dans la neige, surement depuis un long moment déjà, et je grelotte un peu. J'avais mal aux doigts et aux pieds à cause de ce froid glaciale. Je me retourne donc à nouveau vers la ville et m'y dirige, lmaissant la voiture où elle est, incapable de la conduire dans mon état.
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André Minos
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeLun 2 Jan - 14:48

J'étais encore en lutte contre le chasseur, mais avec son coup sur ma machoire j'avais basculé sur le côté, en ayant quand même le temps de lui retiré son arme... Je jète un regard sur l'homme au sol, je ne le reconnais pas ! Mais il faut quand même qui je me venge de ce put*** de chasseur ! Mais je n'ais pas le temps de me lever que cet homme me saute dessus et m'écrase le cou avec ses deux mains, je commence à suffoquer, pleins d'images me viennent en tête, le sang commence à manquer à mon cerveau, je ne comprends plus vraiment ce qui se passe, ma tête me faisait attrocement mal, et sans que je vois le chien tirer son maître sur le côté, car je vais trop mal pour appercevoir ce qui se passait près de moi ! Surtout avec cette neige, qui ne s'arrêtait pas...

Je n'arrivais presque plus à respirer, je pensais encore moins, chaque mouvement me coupait le souffle, pourtant j'essayais de retirer cette homme à l'aide de mes jambes et en essayant de retirer ses bras avec les miens...


"Hemmehaaahemmuuehm" (sans commentaires ... )

Mais bien vite, sans que moi même puisse m'en rendre compte, le chasseur est propulsé sur le côté, j'entends sa respiration coupée, je ne vois pas vraiment ce qui se passe, j'essais d'abord de reprendre doucement mes esprits... Je pose mon bras en arrière, je me redresse lentement, et je vois un chien à la gorge de l'homme, je voulais l'en empêcher de le tuer, même si au fond de moi c'était la chose qu'il mériterait le plus ! Je m'assis, et je regarde le chien, il l'a finalement tué, surement que la vengance l'avait emporté ! Mais quand il se tourne vers moi, un mauvais pressentiment se fait sentir en moi, il me regarde avec ses dents et babines pleines de sang ! Je recule doucement, lui aussi semble se poser des questions, genre, me tuer ou me laisser en vie ? Je frissonne, de peur, et de froid ! Je reprens moi aussi la réalité, il ne fallait pas rester ici ! Je tourne la tête vers l'emplacement où était l'autre homme, il n'y est plus... Alors, serait-ce ce chien qui l'ait déplacé ? Ou.. manger ? Non non, ça se peut pas !

Mais heureusement le chien se décide à pendre la langue et à me sourrir joyeusement... Je soupire, j'avais eut chaud cette fois-ci, enfin chaud, façon de parler... Et il essaye de m'amener quelque part en me tirant légèrement, je le suis, peut-être savait-il où était cet autre homme ? Je le suis sans ronchonner, c'était la seule chose à faire... Je lui donne juste une caresse en faisant attention de ne pas toucher ses blessures, et il m'amène près d'un léger trou, pourtant je ne vois rien, j'essaie de tater avec les mains, de la neige, froide et glaciale, comme d'habitude, peut-être avait-il voulu m'égarer ? Enfin, tout de façon je l'étais déjà ! Mais je décide d'appeler les secours, pour moi même, et pour le chien, même si il était déjà partit et que je ne savais pas où j'étais... Je sors mon téléphone, et compose le '15'... ça sonne un instant, puis ça répond...


"Le 15 services des urgence, oui ?
-Je.. Je suis en pleine fôret, j'ai besoin d'aide, je suis perdu.. La neige m'a entouré, normalement un autre homme est avec moi, mais je ne le trouve plus, même un chien, un husky je crois qui a réussi à m'aider.. retrouver moi !
-Nous allons faire notre possible, rester en connetion, nous allons essayer de vous localiser, un hélicopter va survoler les bois de la campagne, et beaucoup d'hommes spécialisés vont partir à votre recherche ! Ne vous inquièter pas, essayer de rester conscient, abritez-vous comme vous le pouvez...
-Euh oui... Je reste en ligne, mais dépèchez vous, je suis frigorifiez ! é_è !! "
Je gardais le téléphone contre ma joue, ça me donnait une légère chaleur... Ma respiration était calme, quelque peu sacadé, mais douce, j'avais envie de survivre, et j'allais survivre ! Je marche un peu dans les bois pendant un instant, les marches de pas de l'homme avait déjà été remplis par la neige, même les traces de ses mains sur les troncs d'arbres, puis ça pouvait très bien être un animal qui a fait ces marques, moi je ne pouvais pas savoir ! J'essaie de me garder au chaud, je reste contre un tronc, je me met en boule, j'attends... J'entends enfin la voix de l'autre côté du fil, ça me rassurait...

"Allô, vous êtes toujours là ?
-Oui..oui..
-Nous avons réussi à localiser l'endroit où vous êtes, mais c'est très vague, la recherche risque d'être longue, je vais dialoguer avec vous pour que vous puissier rester conscient ! Je voudrais déjà votre nom, et êtes vous marié ? Pouvons nous prévenir un de vos proches ?
-J'avais une compagne, mais on est séparé, elle s'appelle Tia Evans, mais je ne sais pas si elle s'inquièterait de mon état... Moi c'est André Minos...
-Ne dramatiser pas ! Nous allons laisser un message sur son téléphone... Et des frères et soeurs, des parents ?
-Ma mère est en ville, Lucy Minos... Et celui qui était dans la fôret, et qui a disparu maintenant, et bien je ne le connaissais pas..
-Bon, tant pis... Si vous le revoiyez prévenez nous !
-Je n'en sais rien, c'est que il était là près de moi avant, mais maintenant je ne le trouve plus, je ne sais pas où il est... Et j'ai aussi un frère, Rivaul Corsas... Mais je ne voudrais pas que vous l'inquiètez, il pourrait encore faire une bétise !
-Bon, maintenant rester où vous êtes, si vous entendez un bruit d'hélicopter dîtes le moi, ou si vous entendez des voix, les recherches ont commencés... On va donc ne pas prévenir votre frère, si c'est ce que vous préférer..."

Je tremblais de plus en plus, le froid m'envahissait, et j'étais en panne de.. panne de chaleur ! J'essayais de tendre l'oreille, mais les deux étaient congelées, pourtant j'entendais encore, et chaque bruit me faisait bouger la tête, j'espèrais voir un homme en combinaison spéciale se pointer... Je lève la tête au ciel, j'arrivais à peine à voir le ciel bleu, donc pour voir un hélicopter... Mais je pourrais réussir à l'entendre peut-être ? J'entends des craquements à droite de l'arbre où je suis adossé, je ne sais pas encore ce que c'est, ni qui c'est...

Quelques minutes passent, même si je ne le sais pas vraiment, et toujours rien, je décide de me relever, les loups devaient encore être là ! Je marchais dans la neige, mes pas étaient lourds, je m'enfonçais dans la neige jusqu'en-dessous des genoux, j'avais de plus en plus froid, mais il fallait que je sorte de cette enfer glaciale ! Je marchais encore, quand mon pied envahit un trou préablaement creusé, un genre de terrier, quoi [désolé les chiens Confused ] ! Je retire difficilement mon pied, et là je vois deux huskys, j'ai un petit sourire aux lèvres, revoir des êtres vivants me réjouissais, j'avais si peur en étant tout seul dans ces bois ! Je les regarde avec un sourire désolé, je ne savais pas comment faire, et je ne savais surtout pas comment expliquer au mâle que son maître avait disparu... Je m'éloigne seul, je ne sais pas si ils vont refaire le terrier, ou si ils vont essayer de me suivre, mais je n'ai pas le courage de me retourner... Je marche encore un bout de temps, les arbres se font de plus en plus rare, un moment je vois du rouge, je crois d'abord que je rêve, mais pourtant c'est la réalité ! Je m'approche, les détails deviennent clairs, je vois les traits d'une voiture ! Les secours ! C'est les secours ! Mes pieds deviennent de plus en plus rapide, trois/quatres hommes m'apperçoivent et accourent vers moi ! Ils me recueillent, m'amène jusqu'à une des voitures, m'installe dedans, je n'ais pas le temps de parler... Mon souffle devient de plus en plus rapide, d'un coup tout s'accélèrent, ils appèlent leurs partenaires, tout le monde doit revenir, plusieurs ficelles étaient accrochés, ils allaient pas se perdrent eux aux moins ! Mais je veux parler, il faut aller sauver ces deux chiens ! Vite ! J'essaie de me lever, un homme vient près de moi...


"Vous êtes André Minos ?
-Euh, oui ! Mais je.. "

Il prend mon téléphone portable et contacte la personne qui était à l'autre bout du fil, sans me laisser parler...

"Oui c'est bon, on la retrouver, il faut retrouver l'autre homme maintenant...
-Ok c'est bon, bon boulot Serge... Et cherchez encore l'autre... N'abandonnez pas ! "

Il me rend mon portable, je le range dans ma poche, puis je pense à Thomas, il fallait que je rentre à la maison, mais d'abord ces deux chiens ! L'un deux ma sauvé ! Je sors de la voiture en bousculant l'un des hommes, leur culot de ne pas m'écouter m'énervais, même si j'étais à bout de force je tire l'un deux dans la fôret, et je me met en quète du terrier que moi-même ai-je dévasté par accident...

"Suis moi toi maintenant ! Deux chiens sont en train de congeler là-bas ! L'un deux m'a sauver la vie ! À mon tour de le sauver !
-Beuh... Je vous suis c'est bon ! "

Il n'était pas très content d'être tiré dans la fôret, mais comme c'était un rechercheur et bien il avait aussi cette corde qui ramenait jusqu'à la voiture, cette fois on n'allait pas se perdre ! Je marche encore un peu, le brouillard est toujours là, mais je savais que j'étais toujours allé tout droit, plus qu'à faire pareil ! Et comme je le pensais on arrive bien tôt au terrier, je regarde les chiens, ils étaient toujours là ! Je les regarde, le mâle doit surement me reconnaitre non ?
"Vient... Venez ! On va vous sauver ! Suivez nous ! "
J'essaie de les attirer pour qu'ils viennent hors de la tempête... Je regarde le gars que j'avais emporté avec moi, il avait des couvertures de survie, j'en prends une et j'essaie de prendre le chien[Tovik] dans mes bras, et je l'entoure avec la couverture...
"Allez, on va vous soigné, restez pas là ! "
La neige tombait toujours, mais je restais jusqu'au lendemain si ils ne nous suivaient pas ! Je regarde le regard de la chienne, et je suis pris de pitié, ils sont pleins de blessures, et son regard est triste... Il faut qu'ils nous suivent, on ne savait pas encore où est l'autre homme, mais il fallait déjà les sauver eux-deux ! Cependant je ne savais pas que la chienne était sauvage, et je pensais que c'était les deux chiens de l'homme !
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Chally
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeMer 4 Jan - 1:10

( sa y ait je pars quelque jours a cose de probleme d'internet et jai un roman a lire * pleur * moi desesperer ?? Jamais * soupir en regardant les ligne * bon bahhh quand faut y aller faut y aller * lie puis cherche les ider pour poster ^^ * r0o0o bravoo totoooo tu la eu tes 100 ligne XDD bon mon tour de poster T.T )


J'attendais patiament le retour de Tovik. Ce silence me rendais folle. Chaque seconde j'esperais le voir revenir en 1 morceau. Mais l'inquietude restait toujours... Je tremblais sous le froid. La neige avait d'abord fondu puis geler sur mon pelage arff la plait de devoir enlever sa et en plus sa tirais les poiles. Je m'efforcais de ne pas bouger et de rester dans le trou mais j'avais tres envis de sortir pour aller aider Tovik... Mais a quoi servirais une chienne blesser... Arghhh je detestais ne pas pouvoir servir a quelque choses.... Ma tete était bien applat sur le sol les yeux mi-clos... Je m'endormais mais pour temps je reusais de dormir. Attendre... C'etait long... Trop long.

A force de neiger le trou avait été completement recouvert... Allait-il me retrouver sous cette neige... ett voila manquais plus que sa que la peur m'envahisse... Vraiment je suis la plus idiote des chiennes. Bien sure qu'il va me retrouver non mais jai pas d'autre chose a faire que de me poser des question qui n'on pas de sens... A bah non je peux rien faire d'autre puisque je ne peux pratiquement plus bouger tellement mes membres son geler... Pourvue qu'il revienne vitte... Mes yeux tombais, moi je ne voulais pas dormir... et si je me reveillait jamais... Si je me reveillais et que Tovik soie mort a coter de moi !! Mon coeur commence a ce debattre a une vittesse folle. Bon calme toi Chally respire aller un deux un deux tout vas bien... Pourquoi je n'entend rien... Ro0o0 ses vrai le trou est boucher. Un bruit... Un seul qui me montre que Tovik est en vie... J'attend quelque minute mais rien ne ce produis... Peut-etre que nous les chiens on avais pas de Dieu ?? Bahh ces gentils sa !!

Les minutes passe trop lentement a mon gout mais finalement des grattement me font sursautter... Sa peut etre un loup ou une salle bestiol ! Nonnn je vois la tete touffu de Tovik entré dans le terrier... Merci senieur de cher pas quoi mais merci quand même !! Il n'a rien sauf la machoire rouge... Cette couleur je l'avais vue asser souvent ! L'avait-il tuer ?? Faut dire que sa ne me derengais pas plus que sa c'etait juste une cretin de moin sur la terre ! Raaa comme cette odeur douce et rassurente me fait plaisire. Tien il me semble faire moin froid ^^. Normal jai la grosse fourrure de Tovik qui me rechauffe... Je sais pas ce que j'aurrais fais si je n'aurais jamais counnu cette boule de poile !

Il ma l'air faitguer... Le pauvre. Je le regarde s'endormir sans rien dire. et bien et bien... Il me semblait bien mignion en dormant. Je penche un peux la tete de coté mais change vitte dider en sentend une attroce douleur. La tempete s'avais calmer c'etait le temps je commencais en avoir marre de cette neige qui recouvrais toujours la sortit. Ro0o0o domage il ne ronfle pas T.T je soupire en posant ma tete pres de la cienne en gardant les yeux ouvert... Chouette encore de l'insomnie. Ou peut-etre que je voulais en profiter pour le regarder dormir... J'etais completement perdu dans mes pencer l'orsqu'il ce reveilla pour me glisser 2 petit mot. Mes yeux s'agrandisses comme 2 balle de tenis.

Bisarement j'avais sentit mon coeur s'accelerer a une vitesse hors du commun. Est-ce que je me sentais gener... Oui jamais on ne mavais dit Je t'aime... Rooooo je suis amoureuseeuuuuuuu. Heureuse comme tout j'aurais voulu lui repondre mais ma grosse touffe de poile c'etait rendormi en recommencant ses ronflement^^ ( bahhhh ta oublier de preciser que tu ronflais pas en te rendormant XDD moi jen profite XDD ). J'evite de rire pour ne pas le reveiller. Restant contre lui j'essyais de dormir mais sans succes.

Puis une odeur d'humain me parvint tres vitte. Je reste sans bouger plus de peur que d'autre choses. Haaaa un pied un pied a l'aide il va nous ecraser... Je leves la tete en voyant un homme nous regarder O.O ces qui lui qu'est-ce qu'il fait la... Je me met a grogner de plus belle comme si j'allais le laisser penetrer dans mon territoir non mais sa va pas !! J'etais prette mentalement a me lever mais heureusement il pars... Je n'aurais pas besoin de me faire mal encore une fois quoi que je n'etais pas en étas de me battre. Je repose ma tete sur le sol en tremblant encore de froid. J'avais mal partout et j'avais tres hate que tout sa cesse...

Les minutes passe encore une fois et l'homme revien... Accompagner cette fois O.O. Sa y ait je suis foutu. Il est vraiment michant le boss en haut. Il fait expres pour que tout nous tombes sur la tete ou quoi. Je l'entens nous parler. Sauvé... Oui Tovik et moi en avions besoin mais pourrai-je faire confiance a un humain... Non j'en etait pas capable... Avant que je puisse faire quoi que ce soie il prend Tovik O.O. Sans attendre moi je recule difficilement car chaque pas etait une souffrance... A present j'etais hors de porter mais aussi je n'avais plus de force...

Pourquoi je n'avais pas dormi !! J'aurais eu au moin des force pour sortir en vitesse du terrier et filler loin. Au moin Tovik etait au chaud maintenant... J'etais encore trop peureuse pour partir avec eu. Est-ce que cette betise allait me couter la vie ?? J'en avais aucune ider. Je continuais de grogner pour peut-etre leur faire croire que je n'avais pas peur d'eux et que j'etais prette a les mordres ! Coucher au plus loin que je pouvais je regardaus ces humains qui me voulais du bien. Ne pas dormir... Ne pas dormir... Ces plus facil a dire qu'a faire ! Mes yeux ce ferme finalement. Le froid et les blessure m'avais achever. Tout etait noir, plus de pencer plus de grognement aucun bruit venant de moi. Je ne voulais pas mourir et ne mourrais pas... Même si c'etait hors de mon controle j'esperais de tout mon coeur que je n'allais pas mourir...

Je n'etais plus en état de resister a ces hommes... Ils allaient m'emporter la ou il voulais... J'avais peur même si jetait inconciente. Ou allait-il m'emporter! Allait-il me faire du mal ou faire du mal a Tovik ?? Toute ces question qui n'allais pas avoir de reponce pour le moment. Il fallait que j'attende plus tard pour avoir ma reponce... Si jamais je reprenais consience. Je voulais avoir le temps de dir a Tovik que je l'aimais aussi. Puis que c'etait la veriter. Voila ou je suis. Dans un trou a attendre d'avoir les reponces de mes questions...
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeMer 4 Jan - 21:39

Sans avoir trop riposter car il ne men avais pas laisser le temps je me laisse entraine avec André dans la foret. Une chance qu'on avais cette corde qui nous reliais au voiture. Ou est-ce qu'il m'emportais ?? Je commencais a m'inpatienter l'orsqu'on arriva enfin a ce qu'on pourrais dir une mini grotte. Qu'est-ce qu'il pouvais y avoir de si important dans cette grotte pour que ce monsieur veuille a tout prix revenir. Il commence a parler... Est-il fou ??? Ha bah non je le voie sortir un premier chien. Voila ce qu'il y avait... Les pauvres. Il y en avait-il un autre ?? A entendre les grogement oui. Vue que l'homme a deja les bras charger je prend sa place pour aller recuperer l'autre chien au plutot la chienne... Je glisse ma motier de corps dans le trou pour la voir... C'etait peut-etre une mauvaise ider car je risquais de me faire arracher la tete. Mais une chance elle arrete de grogner... Elle c'etait surment calmer... Plus je la regarde plus je me rend compte qu'elle est inconsiente...

" monsieur preparer une autre couverture la chienne est inconciente ! "

J'essaye de l'attrapper sans lui faire mal mais ses asser compliquer. Apres plusieur tentative j'arrive a la sortir de la et la mettre dans la couverture. Elle blesser il va falloir les conduires au plus vitte chez le veto. La chienne avait recu une bal sa paraissai asser car son pelage etait tacher de rouge. Tendit que le mâle avait l'air d'avoir été frapper a plusieur reprise. Ces sur il va avoir un sacrer mal de tete. Je me demandais comment allait reagir la chienne car elle etait sauvage et surment qu'elle n'aimerais pas rester en cage le temps de sa convalessence... Vais prevenir les veterinair comme sa il seron pres a lui mettre la musoliere si jamais elle essaye de mordre^^. Je regarde andré un peu triste pour ses 2 chiens. Bon restais a rapporter les animaux. La route allais etre plus longue car il fallait faire attetion avec les animaux blesser dans nos bras. J'attend que andré soie pres et je pars... La neige etait asser profonde mais bon je tenais le coup. Apres plusieurs minute j'appercois les camion j'etait externuer non mais ses lourd des husky !!

" HEYY SA SERAIS GENTIL DE VENIR NOUS AIDER ! ON A 2 BLESSER DE PLUS !!!! "

Aussitot d'autre secouriste arrive pour prendre les 2 chiens et nous apporter dans une voiture au chaud differente de celle de André normal puisque cette voiture allais etre emporter tout de suis chez le veto. Je rapporte André a sa voiture et moi je repars voir les autre secouriste pour leur parler... Les voiture demard et pars. Les chiens allaient etre soigner et moi je pasais un coup de file au veto pour qu'il ce prepar a les recevoir.
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André Minos
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MessageSujet: Re: Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste]   Leçon de politesse [30 lignes minimum sur ce poste] - Page 2 Icon_minitimeJeu 5 Jan - 15:35

Je marchais jusqu'au terrier, j'avais pris le chien dans les bras, et l'autre gars arrive à sortir la chienne, malheureusement inconciente... Je les suis, suivant la corde, et tenant le chien comme je peux, c'est que ça fait son poids un husky adulte ! On marchait, nos pas crissaient dans la neige, je frissonne, la neige me recouvrait le bonnet, et j'avais les mains toutes rouges... On arrive enfin vers l'entrée de la fôret, le secouriste demande de l'aide, les chiens sont biens vite menés dans d'autres voitures, pourtant je voulais m'occuper personnelement d'eux, l'un deux m'avait sauvé la vie ! Et puis, en plus, je n'avais pas coufiance en les voiyant, l'un d'eux semblait sarcastique, et antipathique en plus de ça ! Mais moi j'ai froid, j'ai mal, et mon fils m'attend, pourtant je dois quand même retrouver ces chiens ! Un secouriste m'installe dans une voiture, il m'amène une tasse de thé chaud, très chaud même !!! Je bois doucement, soufflant pour refroidir, pensant toujours à une solution pour aller voir ces deux chiens, ils étaient surement à la clinique vétérinaire, mais pour quel raison j'irais les voir ? Euh... Juste une envie ? Bah, je trouverais bien ! Mais je n'étais pas en état de conduire, il fallait que je trouve quelque chose rapidement avant qu'il me ramène chez moi ou à l'hopital, tient, c'est vrai ça, j'espère qu'ils vont pas m'amèner à l'hosto' ! Je sors de la voiture, la neige commençait à se calmer tranquillement, mais les flocons continuaient quand même de mouiller nos cheveux, et tout nos vêtements.... Je soupire, puis m'approche d'un secouriste, je rends la tasse que j'avais finis assez rapidement, j'avais maintenant chaud de l'intèrieur ! Il range la tasse dans une caisse, cependant je n'ais pas besoin de commencer la conversation, il me propose gentillement...

"Vous en voulez une autre ? Hey, ça réchauffe hein ?
-Euh.. Non ça va aller ! En effet, ça réchauffe bien, ^^ .. Mais je voulais juste savoir où seront amené les deux chiens ?
-On a remarqué un collier sur l'un deux, il appartient à Loïc Nervers et Sarah Rouvie !
-Et, l'autre ?
-Euh, la chienne ? Il parrait qu'elle a mordu un de nos vétos[les nouvelles se répendent vite XD] ! On va surement l'enfermer à la fourrière, cette sauvage.. sale chienne !
-Ah... D'accord... Mais, elle est si méchante que ça, vous la détester déjà ?
-C'est une sauvage, une sale chienne qui mord tout ce qui bouge ! "
J'avais un sourire forcé, quel imbécile celui là ! Vite, retrouver cette chienne avant qu'on l'envoit en fourrière ! C'est qu'il voudrait qu'on pique cette chienne encore cet homme ! Il mérite pas d'être secouriste, è_é ! Je m'éloigne en soupirant, il fallait que j'aille chercher cette chienne ! Que j'arrive à conduire ou non ! Je marche dans la neige qui crisse sous mes pas, je voyais ma voiture non loin de là... Je rentre rapidement ma main dans ma poche, ouf, mes clés étaient encore là, j'essais de ne pas me faire voir, pouvoir partir tranquillement... Mais un secouriste m'interpelle de derrière moi... Je me retourne lentement, très lentement, et je soupire en voyant qu'il s'approche, j'allais perdre du temps...

"Monsieur Minos ! Venez, on va vous ramené ! Suivez moi !
-Ahem... C'est que, j'ai ma voiture, et je n'aimerais pas la laissez là !
-Bah, on vous la ramènera !
-C'est que.. Enfin.. J'aimerais conduire, je vais rentrer tranquillement, ne vous inquiêter pas !
-Ah.. Bon, si vous voulez vraiment... Alors bon rétablissement !
-Oui merci... "

Et il s'en va sans demander son reste, je soupire de soulagement, j'avais bien dosé cette fois, vite, la clinique maintenant ! Je rentre vivement dans ma voiture avant que d'autres personnes me demandent comment j'y vais... Je démarre, sort tranquillement de la fôret, et me dirige en ville, je vais jusqu'à la clinique, et espère que la chienne est encore là !
[Clinique véto]
(Pas le temps d'éditer, je me casse en cours ! Bye ! J'édite si y'a pas 30lignes, et je posterais plus tard ! )
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