Nom : Caly
Sexe : Femelle
Race : Border Collie
Age : 2 ans et demi
Caractère (Citez au moins trois qualités et trois défauts): Chienne douce et tranquille, Caly n'est pas non plus un animal à prendre et à délaisser comme cela. Pourvue d'un caractère bien forgé, elle sait ce qu'elle veut et ce qu'elle ne veut pas, et sait généralement très bien l'exprimer. Elle sait garder son sang froid lorsqu'il le faut, mais tente de ne jamais s'attacher trop fortement avec un bipède. Ayant déjà tenté de le faire à maintes reprises, elle les estime à présent incapable de posséder sa confiance. Elle ne le montre cependant pas, et n'est pas agressive envers les humains, tant qu'ils gardent leurs distances bien sûr. Elle a cependant pour principe de ne pas s'en prendre aux enfants, ou aux personnes âgées, handicapées. Leur faire comprendre de la laisser tranquille, là est le point principal de la chose.
Quant aux chiens, elle n'a aucun préjugé dessus, ni aucun ressentiment, tant qu'il ne la juge pas non plus sans la connaître.
Prédisposition à un certain travail (exemple : si vous avez un bon flair, vous êtes prédisposé à faire du pistage, cavage, recherche en décombres ou montagne) : Chien de berger, elle est donc bien positionnée pour exercer tout emploi dans ce domaine. Elle possède une bonne écoute et une certaine compréhension des ordres humains qu'elle suit bien, en tant que chien domestique, cependant.
Votre histoire (3 lignes minimum) :
Un chien, quel beau cadeau de noël ... Oui, c'était ce qui était convenu pour la petite famille des Hoggins, pour leur fils de douze ans. Un animal de compagnie le sortirai des consoles, et des jeux vidéos sur lesquels il passait son temps. Ainsi, la jeune Caly fut adopté par les
parents, et offert à leur fils unique. Sur le coup, la jeune chienne était pleine de joie, heureuse de se trouver enfin une famille dans laquelle vivre ... Bien que triste de laisser sa mère et ses frères et sœurs derrière elle. L'ennui fut que ... Le jeune garçon ne passa pas son temps avec la chienne comme il le fut convenu. Capricieux, il râlait pour un rien, et lançait à l'animal des défis plus risqués qu'autre chose. Lorsque les parents rentraient le soir, pour retrouver une maison dans un état incroyable, ce fut constamment de la faute de lachienne, qui avait de la peinture plein le museau, et un lot de casseroles accroché à la queue, comme dans les films. Quel joli jouet, tiens ....
Agacée et choquée de ce rythme de vie, la jeune chienne décida un jour de s'enfuir, chose qu'elle fit avec succès, avant d'être embarquée par la fourrière. Là, elle s'aperçut que sa vie n'était en fait pas si meilleure que ça, une fois partie. Face aux gardiens, elle se montra agressive, et ce caractère, elle le garda. Muselière au museau, elle fut gardée pendant un long moment, les visiteurs ne voulant pas d'un animal de compagnie trop agressif. On finit par la vendre à un chasseur, déterminé à la dresser. Durant le chemin, son nouveau propriétaire prit le soin de l'anesthésier. Quand ele se réveilla, elle était en pleine forêt, dans un abri. Elle se leva, voulut courir : un lien la tira par le cou, la ramenant à son point de départ. Elle était attachée ? Sensation bien étrange que de se sentir tellement impuissante. Le maître finit par parvenir à la faire obéir, à force de coups à chaque désobéissance. Elle suivit un entraînement strict et direct. Jusqu'au jour où son maître voulut chasser de nuit, fixé sur un gros gibier. Silencieux, les deux individus s'étaient élancés dans la forêt, prudents. En voyant la cible, Caly fit quelques pas en arrière : ce n'était pas que les jeune ours, ce n'était pas son affaire, mais presque. De plus, il n'avait rien à faire ici. Malgré son apparence plutôt enfantine pour un animal de cette espèce, sa carrure était importante : chose que le maître semblait complètement ignorer. Posé, il visa l'animal. Ce dernier se mit en alerte, une nouvelle odeur dans l'air l'éveillant. Le chasseur tira. L'ours hurla de douleur, et de colère, et s'élança directement vers les chasseurs. L'homme courut en arrière, Caly tentant de le défendre ne serait-ce qu'un peu : il avait beau être mauvais, elle était loyale. Mais les coups de patte de l'ours étaient plus puissants que ses crocs. Son maître disparut dans la forêt, elle n'en eut plus aucune nouvelles : de l'ours non plus, d'ailleurs.
Après plusieurs jours de recherches, elle retrouva le chapeau de l'homme, et une odeur. Qu'elle décida de ne pas suivre. Elle courut vers la lisière, décidée à changer de vie.
Signe particulier (tatouage, cicatrice, malformation,...) : Chienne des rues, elle souffre d'une légère malnutrition qui peut parfois apparaître, mais quoi de plus normal lorsque vous vivez au milieu de la ville. Autrement, des cicatrices, et le tatouage de sa toute première famille d'accueil, à l'oreille droite.
Mot à trouver dans le règlement : ok vue par sarah
Comment avez vous connu Chien de Maître ? Houlà, je suis une ancienne moi ! :p