Morsure de Rintintin..

(bon il faut bien que quelqu'un inove l'hosto hein ! xD et nannn rivaul sa sera pas toi !!!! nah ! )

J'arrive à l'hopital, la main en sang entouré par mon torchon qui était devenu rouge.. j'avais mal, cela me lançait mais je pensais surtout à shadowfax et l'autre chien en train de se battre, j'avais peur que shadow soit blessé ou pire encore.. et l'autre chien, s'il était blessé, il lui faudrait des soins, d'autant plus qu'il était blessé par avance.. tout se bousculait dans ma tete.. J'arrive donc à l'accueil de l'hopital la je n'ue besoin de ne rien dire, la femme me fit assoire d'office et me donna un peut de glace qu'elle posa sur ma main me disant qu'elle appelait une médecin.. le temps me parraissait bien long en attendant le fichu médecin.. mais que fesait il ?? il buvait son café ou quoi ?! je regardais autours de moi, des gens arrivaient en masse, eux aussi blessés.. j'espérais juste qu'ils ne passeraient pas avant moi..

*bon sang qu'est ce qu'il fiche de toubib?!*

Mais heureusement, même si plusieurs patients sont très vite pris en charge par d'autres médecins, Sarah n'est pas oubliée.
Avertit de l'urgence que représentait son cas, je ne peux cependant pas faire autrement que d'en terminer avec le patient que je suis en train de traiter...et pourtant, je l'aurais voulu croyez moi. Voyez plutôt une bride de ce qui se passe, face à une dame d'une cinquantaine d'année :

- Vous comprenez Docteur, mon mari est très inquiet pour notre avenir à tous les deux. Il se demande si vraiment on peu vivre comme ça. J'ai bien essayé de lui expliquer que ce n'était pas parce que je n'étais plus aussi vive qu'avant que je n'aimais pas, mais vous savez comment sont les hommes docteur...oh non bien sûr, je ne parle pas de vous. Vous devez certainement être un mari exceptionnel. Votre femme doit avoir bien de la chance...Mais...Vous êtes marié ? Vraiment ?

"Non Mme Monier, je ne suis pas marié. Ecoutez, je comprends que la situation pour vous et votre mari doit être délicate mais..."

- Oh non. Pas particulièrement délicate, mais juste un peu...comment dire ? Un peu difficile parfois. Oui, c'est cela un peu difficile. C'est que, comme je vous l'ai dit docteur, mon mari est assez inquiet devant tout cela. C'est vrai qu'il s'inquiète parfois pour rien aussi, mais que voulez-vous ? Je ne le changerais le pauvre, à son âge...Oh non qu'il est très vieux, ce n'est pas ce que je veux dire non. Il a à peine 50 ans et c'est encore un jeune homme dans sa tête...à ce propos. Quel âge avez vous déjà ? Oh vous semblez bien jeune, vous ne devez pas avoir...non ne dites rien, laissez moi deviner...21 ou 22 ans peut être ?

"24 ans Mme Monier. Ce que je peux vous proposer, c'est que vous disiez à votre mari de venir me voir. Je pourrais ainsi lui expliquer les choses et peut être sera-t-il..."

- 24 ans ! Oh déjà ? Non, pas que vous êtes vieux, ce n'est pas ce que je veux dire, certainement pas même. Mais vraiment, vous ne faites pas votre âge. Oh...et vous n'avez pas encore trouvé de femme pour prendre soin de vous ? Hum, les jeunes filles de nos jours ne savent plus reconnaître un homme lorsqu'elles en voient un. Si, si je vous assure. Moi j'ai eu beaucoup de chance avec mon mari, et ses parents...des gens charmants, sans aucun doute. Ils ont très vite compris que je prendrais bien soin de lui. Le pauvre, quand je l'ai connu, il ne savait même pas faire chauffer une casserole de pâtes sur le feu. Vous savez cuisiner docteur ?

"Oui, assez bien même Mme Monier. A présent..."

Non, il n'était pas possible de faire une phrase entière avec cette charmante dame dans mon bureau. C'était un peu ma hantise lorsqu'elle venait me voir, et autant vous le dire, elle venait très souvent. Je me souviens d'une fois où elle était venue soit disant pour une urgence. Et bien vous me croirez si vous le voulez, mais l'urgence en question était un simple ongle un tout petit peu cassé. J'avais cependant dû le lui couper et lui prescrire un bon brossage de main pour qu'elle soit rassurée. Dieu bénisse l'homme qui l'avait épousé. J'espérais pour lui qu'il soit sourd quelque part. Et en attendant, Mme Monier continuait de parler alors que je venais de me lever car je savais que l'urgence suivante, une vraie sans doute, ou en tout cas je l'espérais quelque part...mais pas trop en même temps pour la personne qui devait attendre, m'attendait dans la salle d'attente.

- ...et pour coudre ses chaussettes. Oh non certainement pas. Il serait capable de se les coudre dans le doigt à la rigueur. Et vous docteur, vous savez faire de la couture aussi ?

"- Oui, j'ai eu de bonnes sources ancestrales. Exc..."

Est-ce que vous connaissez les bandes dessinées ? Et bien imaginez une petite bulle se formant au dessus de ma tête et mettez y une jolie tête de mort. Oui, voilà, vous y êtes. Vous l'avez compris en effet, une fois de plus, je venais d'être coupé par Mme Monier. Charmante dame...Si si je vous l'assure.

- Oh ça alors ! Un homme qui sait coudre. C'est incroyable. Oh non, je ne veux pas dire que c'est rare...en fait si je crois. C'est vrai, les hommes en général préfèrent le sport, le bricolage, ou au mieux le jardinage, mais la couture...Non, ils préfèrent dire que c'est un truc de femme. Mais vous savez pourquoi ? Et bien je vais vous le dire, car j'en suis sûr, c'est que j'ai de l'expérience avec toutes ces années passées avec mon mari. Et bien c'est parce qu'ils tiennent une aiguille comme manchot le poisson. Oh je ne parle pas de vous évidemment. Qui m'avez vous dit qu'il vous a apprit à coudre déjà ?

"Ma grand mère, mais je ne vous l'ai pas dit Mme Monier. Et maint..."

- Votre grand mère ? Parce que vous vous entendez bien avec vos grands parents aussi ? Oh c'est incroyable Docteur, vous êtes vraiment un homme exceptionnel. Et vous n'avez pas trouvé de femme !? Hum, il va falloir remédier à cela bien vite, je vous le dis moi. Si vous le souhaitez, je pourrais vous inviter un de ces soirs et vous faire rencontrer ma fille...

Et ainsi continuait de parler Mme Monier. Je me rapprochais pourtant de plus en plus de la porte, l'entraînant dans mon sillage pour la faire sortir. Malheureusement, je ne pouvais pas la congédier expressément avec un coup de pied aux fesses, ce serait trop simple n'est-ce pas ?
De plus, tout cela je le savais déjà car si elle venait me voir bien 2 à 4 fois par semaine, chaque fois également, elle me racontait ainsi la vie de son foyer, une vie qu'à force, je connaissais par coeur. J'aurais pu la raconter à sa place, c'est tout dire. D'ailleurs, je le prouve. Vous allez voir qu'elle va me parler de sport à présent. Si, si, je vous assure, regardez.

- Mais vous faites du sport aussi non ?

Tenez ? Je ne vous l'avais pas dit ?

- Je ne sais plus ce que vous faites déjà. Je crois que vous me l'aviez dit déjà, mais je dois avouer que je ne m'en souviens plus très bien. C'est que je vois tellement de monde tout le temps...Euh...attendez, je vais me souvenir. De la danse classique non ?

"Je suis professeur de karaté Mme Monier. Ecoutez, dites à votre mari de venir me..."

- Ah oui du karaté. Pourquoi de la danse classique. Oh vous feriez un excellent danseur, j'en suis certaine. N'avez-vous jamais essayé ? Après tout, karaté ou danse, c'est du pareil au même. C'est un art voilà tout...vous me disiez quelque chose ?

Oui, je vais y arriver ne vous inquiétez pas. Après tout, nous avions tenu la même discussion la veille au soir, il n'y avait donc pas de raison de s'inquiéter non ?

"Dites à votre mari de venir me voir Mme Monier. Je le rassurerait pour vous. A présent, si vous voulez bien m'excuser..."

- Oh c'est tellement gentil à vous de bien vouloir le recevoir. Je lui passerais le message, vous savez que vous pouvez compter sur moi. Mais surtout ne vous laissez pas avoir par son humour hum ? Il parle tellement parfois qu'il est bien difficile de l'arrêter. Heureusement, je suis là pour calmer le jeu car je crois que sinon, il pourrait ne pas dormir juste parce qu'il n'arrête pas de parler. Mais je lui dirais avant qu'il vienne vous voir de ne pas se lancer dans de grands discours. Oh il risque bien de ne pas m'écouter, mais on peut au moins dire que j'aurais essayé n'est-ce pas ?

"Oui Mme Monier, c'est très charmant de votre part. J'ai une urgence, excusez moi à présent."

Je fais un bref sourire à la brave dame, espérant que cette fois, j'arriverais enfin à la pousser hors de mon bureau. Nous étions d'ailleurs arrivés à la porte de celui-ci et j'avais depuis près de 3 minutes, la main posé sur la poignée. Un petit effort encore et je pourrais l'ouvrir.

- Oh oui bien sûr docteur, je ne veux surtout pas que vous fassiez attendre vos autre patient. Il y en a qui ne se gênent pas pour raconter leur vie pendant des heures, mais je ne suis pas comme cela heureusement car si tout le monde était ainsi, les gens victimes d'accidents pourraient bien mourir dans le hall de l'hôpital. Oh ce serait vraiment stupide vous ne croyez pas ?

Nouveau sourire plein d'espoir alors que j'ai à présent ouvert la porte pour que la dame puisse sortir.

"En effet Mme Monier, vous avez raison."

- C'est vrai oui...oh je n'ai pas toujours raison, mais je dois avouer que ça m'arrive souvent quand même. Oh ! Nous voilà dans le hall. Et bien je vais vous laisser docteur. Encore merci pour tout, au revoir, docteur. A bientôt.

"Au revoir Mme Monier. Passez une bonne journée."
*OUF ! Enfin !*

Ma patiente sortie, je me dirige très rapidement vers l'accueil où l'infirmière me montre la jeune patient en urgence, la main entourée d'un chiffon plus très étanche. En effet, du sang avait déjà coulé sur le carrelage et la pauvre était bien blanche. Je réagis très vite, mais toujours avec un calme impérial. Je demande à l'infirmière d'aller prendre un fauteuil roulant et me dirige très rapidement vers la jeune femme.

"Bonjour Madame. Veuillez m'excuser pour le retard. Que vous est-il arrivé ?"

Je m'attendais à pas mal de choses en fait. Souvent, c'était dû à un accident de jardinage. Dans une ville comme celle-ci ou chacun essayait de faire mieux que son voisin, ce n'était pas vraiment étonnant. D'autres s'étaient simplement coincés les doigts dans une porte, d'autres encore était accidentellement tomés d'on ne sait où. Enfin, je devais bien avouer que cette fois-ci, je ne penchais pour aucune des solutions là. En effet, j'avais déjà pu remarquer après un bref coup d'oeil, qu'il y avait des poils clairs sur haut noir de la jeune femme et qui plus est, ses ongles et ses mains étaient parfaitement propres...en tout cas, ceux de la main qui n'était pas pleine de sang. Il fallait donc sans doute que je m'attende à toute autre chose.

J'étais toujours la, dans la salle d'attente, a attendre le bon vouloir d'un medecin, j'avais mal, ma tete tournait, mais je m'en fichais pas mal, moi ce que je voulais c'etait retourner au plus vite à la maison voir shadowfax, savoir s'il allait bien, s'il n'était pas blessé... je soupire et m'enffonce dans le fauteuil inconfortable, mais c'etait toujours un fauteil.. les autres patients dans la salle se contentaient pour la majorité d'une chaise... Bref, tout à coup je vois une porte s'ouvrir un homme en sort, grand avec une blouse blanche, un medecin ! wahou! le 1er que je vois vivant dans cet hopital ! Une dame est avec lui, elle parle fort, le salut et part, je le vois se diriger vers l'accueil, j'ésérait que ce serait mon tour, car la, je ne savais pas combien te temps j'allais tenir avec cette tete qui tourne.. puis il s'avance vers moi, une infirmière le suit avec un fauteuil roulant, une fois qu'il est près de moi il me demande ce qu'il m'est arrivé.. 1ere envie crier..mais non ce n'était pas la solution, donc je prend une respiration pour garder mon calme puis me décide enfin a lui répondre, c'est la que je me suis surprise avec une toute petite voix..

"Bonjour Dr, je me suis faite mordre la main par un Berger allemand il y a 30 mins environs"

Je reprend mon calme puis souris au médecin, après tout il n'y était pour rien surment, c'etait le lot quotidien quand ont allait a l'hopital.. je le savais en plus. je reprends donc avec un petit sourire en prime.

"ça ne dois pas etre grave mais je ne me voyais pas me recoudre moi meme"

Je regarde le médecin, il avait l'air assé jeune, je n'avais pas beaucoup l'esprit à regarder les gens j'étais plus préocupé par shadowfax.. le savoir seul, je n'aimais pas.. mais alors pas du tout.. Le médecin fesait une tete qui m'inquietais pourant.. était ce si grave que ça ? possible.. je ne m'en rendais pas compte d'ailleurs plus les minutes passaient moins je me rendais compte des choses.. comme des absences de l'auditions, mais la encore je mis un bout de temps à le comprendre.. J'entend cependant qu'il me dit que la main est fragile, que je n'aurais pas dut me recoudre moi meme, pourtant si j'avais pu, je l'aurais fait..J'entend aussi vaguement qu'il me parle de vaccin contre la rage.. je n'avais jamais eu ce genre de vaccination personnelement.. je le regarde dans les yeux pour me concentrer puis je lui répond une fois de plus difficilement..

"contre la rage? non, je ne suis pas vaccinée.."

je vois l'infirmière poser le fauteil roulant près de moi et le médecin qui se met juste à coté de moi et me demande si je pouvais y aller, biensure! je ne suis pas une handicapé tout de meme !

"oui ça devrait aller je vous remercie Dr."

Je prend quand meme appuis sur lui pour me lever mais a peine debout, je vois des points noirs davant mes yeux qui se transforme vite en rideau noir.. puis plus rien juste un bourdonnement.. je retombe sur lui dans les vapes.

Je ne me rendais absolument pas conte de ce qui se passait aurours de moi, j'entendais des voix, des buits divers et variés, de fil en aiguille je reconnais la voix du Dr qui parlait de poche de O.. je n'avais plus de force meme pour réfléchir et bien trop faible pour ouvrir les yeux, ma mémoire cependant revoyait la scène, je me revoyais donner à manger à shadowfax, sortir chercher mon courrier.. et ce chien.. puis la corde, et enfin l'attaque et le chiffon.. puis plus rien impossible de me souvenir plus loin.. Je soupire puis essaye de me calmer.. loupé je m'énerve je vois sans cesse les images de shadow se battre, je commance à m'agiter dangereusement dans le lit, appelant d'une voix faible shadow.

"shadow..non.."

je bouge la main juste un peut comme pour attraper shadow puis je replonge dans mon silence, je ne bouge plus mes membres sont trop lourds.

Je reprend peut à peut mes forces, enfin, c'était vite dit disons que je revenais à moi doucement, je me sentais bien tout d'un coup, comme vidée de tout problèmes, c'était agréable, j'aurais aimer connaitre ça plus souvent, surment du à quelque chose que j'avais reçu.. Tou doucement quelques minutes après, ou peut etre plus je me mets à bouger un peut tout doucement, membres après membres, je ne sentais pas ma main par contre, surment dut à l'anesthésie qui fesait encore effet, puis finalement j'ouvre les yeux tout doucement la aussi et je vois un visage, un beau visage, celui d'un homme que je ne conaissais pas, mais qui me fit une drole de sensation.. je cherche un peut dans ma mémoire et finalement je remet cet homme, c'est le médecin, mais.. était il resté près de moi tous ce temps, ou venait il de revenir?... Bien trop fatigué je décide simplement de lui sourire et de lui parler un peut.

"D.. Dr.. qu'est ce qu'il m'est arrivé ? , je ne peut pas rester, il faut que je rentre, non je ne peux pas rester"

Et je repenssais encore a shadow qui devait etre seul et peut etre blessé, mais je reste comme figée sur cet homme (l'a bugé la sarah xD) impossible d'en détourner le regard et machinalement je lui tend ma main valide. Une peur m'envahie, celle de restée seule, je ne voulais pas qu'il me laisse seule dans cet hopital, ni dans l'état ou j'étais.

Je le sens prendre ma main, je le vois aussi, il est tout pret, ça me rassure, je n'étais pas seule, j'espérais seulement qu'il ne parte pas en me laissant, il me dit que je suis à l'hopital..je réfléchie un peut et me souviens effectivement que j'étais venue..mais comment ça.. aucune idée.. je ne connaissais que trop bien cette odeure.. elle me rappelais de trop mauvais souvenirs.. je me mis à repenser à mon enfance pendant quelques temps, puis, j'ai comme une lueure que je devais lui répondre ce que je fis.

"à l'hopital ?, ah oui.. je me souviens.. un malaise ? non je ne me souviens pas...mais.. je sors quand? je ne peut pas rester vous comprenez.."

Puis il me demande dans la foulée pourquoi je ne voulais pas rester, je ne réfléchis pas à l'importance qu'il accorderait à mes propos et je lui dit tout bonnement que je devais rentrer..

"shadowfax, il est peut etre blessé, l'autre aussi, je ne peux pas les laisser..c'est mon chien, il a prit ma défence. Je dois l'aider à mon tour"

je soupire sachant pertinament que je ne pouvais pas bouger, je sentais bien que je n'en avait pas la force. Je serra la main du médecin un peut plus toujours en le regardant de mon regard faible.

"Sarah, appelez moi sarah s'il vous plait"

Je ne lache toujours pas la main de l'homme, il me parle, il me dit que je ne pouvais pas sortir..du moins pas avant le lendemain matin..mais pour moi qui n'avais plus de notion du temps avec ce fichu malaise.. ça me paraissait long encore comme attente.. et puis je commançais a avoir un petit creu, mais d'habiture, à mes souvenirs c'etait aux infirmières qu'on demandais à manger, pas au médecin...Je ne voulais pas rester..non non non et re non ! m'enfin j'y étais bien obligée, il avait l'air bien décidé a ne pas me laisser partir..

"d'accore.. si vous le dites.. je vous écouterais, ne soyez pas désolé, vous savez je n'ai qu'a m'en prendre qu'a moi, j'aurais du faire attention, c'est mon métier après tout, et j'en ai fait qu'a ma tete."

Puis il fait silence un court moment, pour me dire par la suite son prénom, beaucoup de patients devait leurs donné leurs prénom mais lui le donnait il à tout le monde ? je ne m'attarde ps sur cette question et lui sourit légèrement.

"enchantée Thierry, écoutez c'est vraiment gentil à vous de vous proposer pour aller voir, mais shadowfax n'aime pas les hommes étrangers et sans que je sois la je pense qu'il ne gardera pas longtemps son sang froid, je ne voudrais pas qu'il vous arrive quelque chose par ma faute..et puis.. je.. je ne veux pas rester seule dans cet endroit, trop de mauvais souvenirs voyez vous.. restez avec moi s'il vous plait"

Mon ventre gargouille une fois de plus.. j'avais vraiment faim, je me décide quand meme à lui demande un petit quelque chose à manger..

"je.. vous pouriez m'autoriser à manger quelque chose ? j'ai vraiment faim.."

Je ne savais pourquoi mais cet homme me troublait.. je préférais chassé cette idée de ma tete, de toute façon, il ne m'étais jamais arrivé rien de bon a part shadowfax.

Educatrice canine ? il me prenait pour une éducatrice canine.. remarquez effectivement il ne pouvait pas deviner, de plus avec une morsure à la main.. cela semblerais presque logique meme.. mais non j'étais vétérinaire, et avec tous les défauts aussi ! la preuvre ! mon inocence a faire trop confiance aux animaux.. et ma fois, aux hommes aussi.. ceci dit cela etait une autre histoire encore.. je lui sourit donc et reprend.

"Je ne suis pas éducatrice canin mais vétérinaire, je viens d'installer mon cabinet en ville, et j'avoue avoir été un peut incontiente sur ce coup la mais il fallait que j'aide ce chien"

Puis il me dit qu'il restera près de moi, cela me rassure pas mal, je me souviens encore de mes séjours à l'hopital, pas joyeux, vous me direz qu'on ne va pas la bas pour faire la fete mais les circonstances.. je m'en serais bien passée.. Sans meme m'en rendre compte je tenais toujours sa main et ne la lachait pas, peut etre que cela me procurais de la protection, je ne sais pas mais je ne voulais pas le lacher, ça non alors!Puis gentement il me demande s'il pouvait prévenir quelqu'un que shadowfax n'attaquerait pas, oui effectivement il y avait Rivaul, mais je n'avais pas son numéro sur moi, et le fait de l'avoir connu récement fesait que je ne m'en souvenait pas de mémoire..

"il y a bien mon frère, mais c'est un peut complqué je n'ai pas son numéro en tete.. mais c'est le seul que shadowfax n'attaquera pas, il le connait et a confiance en lui."

puis enfin il appel une infirmière pour que j'ai un peut à manger, je souris à ses paroles et une fois le plateau servit je me met a manger, ouhh que ça fait du bien de manger un peut..je lui sourit une autre fois pour le remercier.

"Merci j'avais vraiment faim"

Je souris quand il me dit que je devais aimer énomément les animaux peut etre meme un peut trop, pour ma part je pensais qu'on ne pouvais pas les aimer de trop, ils nous donnaient tellement.. amitié, protection, amour, soutien dans certains moment, ils sont la quand nous sommes heureux mais aussi quand nous sommes triste et ça peut d'hommes le font que se soit la famille ou meme les amis, personnelement je préférais la compagnie d'un animal à un ami, surtout ceux que j'avais connu jusqu' a maintenant..

"oui je les aimes, top, non je ne pense pas, ce sont les seuls qui ne m'ont jamais déçue, quand j'étais dans le besoin ou dans la détresse il ne restais plus qu'eux, ils ont toujours été ma raison de me battre et de continuer à combatre, vous devez trouver ça bete peut etre, mais c'est inexplicable pour moi, donc quand je peux les aider, je le fais, meme si cela doit me couter quelques blessures."

puis il me dit qu'il pourrait peut etre retrouver le numero de mon frère, ce frère si longtemps perdu de vu et si longtemps recherché qui finalement me tombre du ciel, comme ça.. et que s'il habite en ville, oui il habitait en ville, qu'il le contacterait. je m'empresse donc de lui dire son nom pour qu'il le contacte et que rivaul aille voir comment allait shadowfax.

"oui il habite en ville, son nom est Rivaul Corsas, appelez le de ma part et demandez lui d'aller voir comment va shadowfax s'il vous plait, cela me rassurerais beaucoup de savoir shadow avec lui.."

Puis je fini enfin mon plateau je crois que je n'avais jamais manger aussi bien depuis bien longtemps, enfin, surtout un repas complet.. je surprend un peut son regard.. il m'interppel, il me chamboule meme.. ses yeux.. puis je me reprend, il fallait que je trouve quelque chose.

"euh.. j'ai très soife pourais je avoir un verre d'eau s'il vous plait?"

j'aquiesse d'un petit mouvement de tete sur son point de vue sur les animaux, et je le partagais tout a fait, ils étaient toujours la pour moi, meme quand j'étais chez mes parents adoptif, je passais beaucoup de temps avec le chien du voisin, cela m'aidais pas mal..Il avait raison aussi quand il disait que nous ne savions pas leurs rendre la moitié de ce qu'ils nous donnait. Pour moi c'était évident c'etait bien pour cela que j'avais fais vétérinair, pour essayer de leurs rendre tout ça..

"Vous avez raison, les hommes sont cruels, ils ne se rendent pas compte de ce que nous devont aux animaux, ils ne pensent qu'a eux biensouvent, ceci dit , l'hommes est aussi médiocre avec les autres hommes.. enfin ceci est mon point de vue bien entendu ça n'angage que moi".

je rigole doucement mais m'arrete vite tout de meme, encore un peut faibre, puis je vois Thierry prendre son téléphonne portable puis appel directement Rivaul au comissariat, tiens, il avait l'air de savoir ou le chercher, de plus il n'avait meme pas chercher le numéro une seconde. Puis il l'appel à un autre endroit, me disant qu'il était surment en intervention.. je reste sans mots devant la scène.. oui il le connaissait il n'y avait pas de doute.. mais d'ou? comment? je reste encore sans voix quand je l'entend lui parler presque sèchement, un peut comme un ami le ferait.. Une fois sa conversation fini il me dit que rivaul va aller voir à la maison si shadow va bien, soulagement pour moi..

"Merci Thierry, mais..comment ? je veux dire.. vous connaissez mon frère? vous en aviez l'air au téléphonne en tout cas.."

puis il me tend un verre d'eau, cela était vraiment bienvenue.. je le bois d'un trait puis le repose sur la tablette. et fixe thierry comme jamais, attendant une explication.

Il avait des paroles d'homme sage quelque part il me touchait ce Thierry, nous avions le meme façon de penser, de voir les chose ou de les exprimer et tout comme moi, il aurait pu en parler pendant des heures de ce sujet, je lui souris donc puis pose un regard sur ma main, je ne sentais toujours rien, j'espérais que je n'allais pas avoir de séquelles tout de meme.. Il ne m'avait pas loupé de Berger allemand, j'éspérais qu'il n'aurait pas été aussi méchant avec Shadowfax, sinon je ne me le pardonnerais pas, il m'avait déja aidé deux fois de suite pratiquement, hors de questions que je le laisse..Mais sachant que thierry avait appeler rivaul devant moi, je me sentais un peut plus tranquille dans ma tete, enfin, je le serais totalement une fois que j'aurais eu des nouvelles de shadowfax.. et puis le lendemain matin allait vite arrivé aussi, j'étais impatiente de retrouver mon shadow.. puis j'écoute thierry qui me dit etre un ami d'enfance de rivaul.. les bras m'en tombe, enfin si je puis me permettre cette expression.. je le regarde donc avec des yeux tout rond(comme ça => ) il connaissait donc très très bien Rivaul, surment mieux que moi.. Il avait été la pour lui quand moi je ne l'étais pas, c'était fabuleu pour rivaul d'avoir eu un ami comme ça pendant son enfance, pour ma part je n'avais pas eu cette chance..Je souris à sa dernière remarque, je me demande pendant quelques minutes si je devais lui répondre, après tout, Rivaul ne lui en avait pas parler lui.. et puis après tout, si Thierry était vraiment un ami d'enfance et le meilleur ami de rivaul, pourquoi lui cacher..

"Vous connaissez la famille d'adoption, oui, mais pas sa réel famille, je suis la seule qui lui reste, disons qu'il est presque normal qu'il ne vous ai pas parlé de moi, nous venons de nous retrouver.."

Je soupire un peut et reprend

"Nous avons été séparés quand nos parents sont morts, puis nous avons été adopté chacun de notre coté, j'allais avoir 3 ans quand ma famille d'adoption m'a rammené en france, depuis, plus de nouvelles, cela fait quelques jours que nous nous sommes revus par le plus grand des hazards.. je.. je suis heureuse qu'il ait un ami comme vous, vous avez pu vous setenir et vous entraider, chose que je n'ai pas pu faire pour lui pendant toutes ses années.."

Un gros soupir m'envahis puis les larmes montent pour finalement couler le long de ma joue en repensent à tous ce que l'on avait surment loupé, tous les coups dur ou je n'avais pas été la.. je m'en voulais beaucoup meme si je savais au fond de moi que je n'y pouvais rien. Je n'avais meme pas reconnue mon frère quand je l'ai revu.. Comment cela est il possible ! c'etait invraissemblable pour moi, un frère, ont le reconnaissait, et ce, peut importe le nombres d'années passées loin de l'autre.. J'avais un caractère fort, très fort meme, je ne pleurais pas comme ça, mais la, peut etre que j'avais enfouis tout ça dans une partit de moi meme et ne l'avais jamais fait ressortir, comme enterré.. maintenant qu'il fallait tout déterrer, j'étais nettement moins forte..

je regarde de nouveau ma main suite aux paroles de thierry, j'étais encore sous anesthésie encore, mais je me préparais a avoir un peut mal quand l'effet de l'anesthésiant se disiperait, cela dit j'étais prète mentalement à cette douleure qui pour mois ferait, de toute façon, moins mal que tout ce que j'avais vécu jusque la. Mes yeux se posent de nouveau sur thierry quand il me parle de rivaul, il me dit que rivaul lui avait déja parlé de moi il y a bien longtemps et qu'apparament il avait lui aussi presque renoncé à me retrouver, ce que je pouvais comprendre vu que j'étais passé par la.. C'est dur de chercher quelqu'un dont nous ne savons rien, ou pratiquement rien.. Il avait raison, il fallait que j'en parle avec rivaul, de toute façon c'est bien ce que je comptais faire, nous avions besoin de nous retrouver, il avait beaucoup de choses à m'apprendre de lui, et moi de meme sur moi, nous avions tant de temps à rattraper.. tant de choses à nous dire.. puis il me dit enfin que rivaul n'aurait pas eu une enfance très heureuse, je soupire, alors comme ça il n'avait pas été bien loti lui aussi.. j'avais toujours espéré qu'il ai une meilleure enfance que le mienne, il aurait eu des frères adoptifs et que tierry et rivaul avait du mal a se voir.. mais qu'il fallait maintenant que nous profitions l'un de l'autre, biensure, je ne le voyais pas autrement moi non plus..

" Moi qui espérait qu'il aurait une enfance un peut plus belle que la mienne.. je me suis trompée..Effectivement nous avons beaucoup de chance de nous retrouver, mais nous sommes un peut comme des inconnus, nous ne nous connaissons pas encore comme devrait se connaitre un frère et une soeur, mais je compte bien remédier à cela dès que je serais sortie d'ici, vous avez traverssé tellement d'épreuves ensemble, je suis heureuse qu'il ai un ami comme toi.. pardon, vous. "

puis je soupire une autre fois, et je ne sais pourquoi j'avais une drole de sensation pendant qu'il me tenait dans ses bras, je me sentais bien, enfin je parlais de cette chose qui me fesait tant de mal, en une des choses.., je ne saurais dire pourquoi, mais je n'avais jamais pu parler de cela à qui que ce soit mais thierry m'inspirait une très grande confiance. j'essuie doucement du revers de ma main les quelques larmes qui coulent encore sur mes joues puis tourne la tete et souris doucement à thierry.

"Pardon, je vous ennuie peut etre avec mes histoires, je suis désolée, mais ça fait tellement de bien de pouvoir enfin se confier"

Il me dit dans la foulée qu'il ne savait pas ce qu'avait été mon passé, non ça il ne le savait pas, ailleurs personne ne l'a jamais su, sauf moi bien entendu.. les viols, et parfois les coups.. cela faisait un lourd passé.. que j'essayais d'oublier mais je n'y parvenais pas..Il me confirme que celui de rivaul n'a pas été des plus heureux non plus.. j'espérais juste qu'il n'avait pas vécu la meme chose que moi, mais la encore je me disais qu'en pensent sa et bien je me trompais lourdement, surtout quand thierry me dit qu'il ne voulais pas que rivaul l'accuse d'avoir la langue trop pendu.. peut de mots mais beaucoup de signification pour moi.. je soupire un peut puis il me dit qu'il le considérait come son petit frère, il en savais surment beaucoup sur rivaul, mais c'était a moi de découvrir mon fère, moi seule, et maintenant comme me le fait si bien comprendre thierry c'était a nous de jouer, à deux nous serions surment plus forts.

"Vous.. tu.. pardon j'ai un peut de mal mais ça va venir, je disais donc, tu as surment raison, nous sommes vivants tous les deux, nous avons tout a apprendre l'un de l'autre et puis, avec ton aide, je suis certaine que tout ira bien"

Son aide ? mais pourquoi j'avais été dire ça? surment encore ce fichu manque de confiance en moi .. ça ne me lachait pas, il fallait toujours que je doute de tout.. de tout le monde..quand cela allait il cessé ?! Il avait toujours son bras qui entourait mes épaule, j'étais bien comme ça.. puis il me frotte doucement le dos, cela me fait du bien, me redonne un peut de force, c'est innexplicable je sens meme quelques frissons me parcourir le dos et un sensation bizare que je préfère refouler en moi. Oui mais voila les paroles qu'il prononce par la suite me saisissent.. "Je suis heureux de pouvoir me rendre utile auprès de la soeur de mon meilleur ami...Surtout lorsqu'elle est aussi charmante." Que penser de cela ? sur le coup je ne sais comment réagire.. bien? mal ?.. le doute est la, c'étais surment un compliment comme un autre après tout..

"oh merci mais si je te dis "tu" j'aimerais que tu en fasse autant, après tout tu es le meilleur ami de rivaul, ce serait logique que l'on se dise "tu" non ?"

je souris un peut, à ses dernières paroles, que pourais je lui dire ? rien de spécial étant donné que je ne me concidérais vraiment pas comme "charmante"..

"Oh merci c'est gentil mais tu sais, je ne pense pas etre charmante.. gentille, serviable, oui surment.. mais charmante.. tu es gentil.. merci"

Je rebaisse un peut les yeux et apprécie le fait d'etre toujours dans ses bras, je m'y sentais tellement bien.. et pendant quelques minutes il avait réussi à me faire penser à autre chose qu'a shadowfax... et bah voila.. j'y repenssais..